Phil, votre première lettre[1] est seulement arrivée hier matin ! Je commençais à être un peu fâchée et peinée de votre silence… Savez-vous que votre départ alimenté les conversations ici ? Hospitel ne m’a pas caché qu’il vous croyait un peu fou : la...

Bientôt, Denyse, vous serez à Royan et je vous aurai près de moi –enfin ! Les jours vont me paraître plus longs à s’écouler mais votre venue n’en sera que plus désirée. Ne plus vous écrire est plus dur, car, bien que mes lettres soient rarement intéressantes,...

Pardonnez-moi ma dernière lettre, j’étais fou. Je ne sais pas pourquoi la vôtre m’a semblé pleine de sous-entendus et je me suis tracassé le cerveau jusqu’au moment où, hier soir, votre courrier suivant m’a guéri. Je vous ai fait de la peine et pourtant,...